Alors qu’elle était une jeune fille en Hongrie, Franciska tenait beaucoup aux masques de carnaval que sa marraine lui ramenait souvent de Venise et elle considère que participer au carnaval (et grossir sa collection de masques) fait partie des expériences formatrices du début de sa vie créatrice. Pour ce qui est de travailler de nouveau avec du papier hygiénique, cette designer de Toronto affirme : « C’est si plaisant! Il y a tellement d’outils et de techniques à utiliser – on colle, on agrafe, on plie, on déchiquette... »

Francesca Veress, une collectionneuse authentique de masques vénitiens depuis l’enfance, a accueilli à bras ouverts le brio d’entrée remarquée des robes de bal masqué du 16e siècle. Sa robe et le masque assorti affichent un spectaculaire éventail de plis multidimensionnels et multidirectionnels qui commandent l’attention et l’admiration.

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